dimanche 1 octobre 2017

" L'équilibriste "






































... Au dessus d'elle le sombre de la nuit était piqué d'étoiles. La corde tendue sur laquelle elle avançait précise se perdait dans l'obscur. Son pas appliqué lui laissait entrevoir l'infini,, non seulement de la distance à parcourir, mais aussi celui des sentiments, leur ampleur et leur tumulte. Vague à l'âme et la corde devenait houle hasardeuse, plénitude et la corde tel un sentier fleuri aux heures chaudes de l'été laissait s'envoler une nuée d'oiseaux colorés et bavards.

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