" Le monde va mal,
nos mots s'égarent et je ne rêve
qu'au papillon allant
de ta nuque à l'épaule,
de tes jambes à ton ventre,
pour t'écrire que ma main tremble,
lorsque ta bouche l'effleure ".
Ahmed Kalouaz
Juste écouter le vent.
nos mots s'égarent et je ne rêve
qu'au papillon allant
de ta nuque à l'épaule,
de tes jambes à ton ventre,
pour t'écrire que ma main tremble,
lorsque ta bouche l'effleure ".
Ahmed Kalouaz
Juste écouter le vent.