" Les femmes on ne les possède jamais. Ce sont elles d'avantage qui nous possèdent. Cependant on les surprend sur la toile. Elles y font des aveux. Elles révèlent, parfois sous leur beauté, l'infinie tristesse d'exister. Elles laissent apercevoir, comme La Parisienne de Montmartre, je ne sais quel fond de mélancolie, je ne sais quelle espérance à jamais déçue, défaite. "
Le dernier tango de Kees Van Dongen.
François Bott
Le dernier tango de Kees Van Dongen.
François Bott
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