"La pluie une fois passée, les fleurs
tombées s'envolent,
La douce odeur du ciel pénètre mon
habit.
Mon coeur enfin oisif ne sait où se poser,
Au sommet je regarde revenir les
nuages".
Hanshan Deging
tombées s'envolent,
La douce odeur du ciel pénètre mon
habit.
Mon coeur enfin oisif ne sait où se poser,
Au sommet je regarde revenir les
nuages".
Hanshan Deging
Il faut laisser le coeur oisif pour sentir tout ça qu' autrement échapperait à nos sens...
RépondreSupprimer...C'est joli ce que tu soulignes Margarita!
RépondreSupprimerOui c'est ça, laisser son coeur vagabonder...
Bisous.
Palabras viajeras llegan desde París...Gracias Fabi!
RépondreSupprimerImágenes parisinas de Baudelaire que transcribo con placer...
"...Desde lo alto de mi desván
divisaré el atelier que conversa y canta; las canaletas,
las chimeneas, los mástiles de la ciudad,
y los grandes cielos que hacen soñar la eternidad."
Daniel
Merci Daniel!
SupprimerC'est très beau!