Venir t'écrire ici, c'est lointain et distant. Pourtant je sais que tu aimes "les p'tits mots" Pour toi ce matin. Je viens et m'imprègne de tes créations, je laisse aller la musique aussi et tu es présente d'un coup. Ton monde en couleur comme tu aimes si bien dire prend possession des lieux. Des sirènes, des femmes de coeur, des amoureux, un enfant kabyle. Il y a de la nostalgie, des mots d'amour, des secrets, des vérité qui fleurissent et s'évaporent de ci de là... De ces mots comme l'a dit si bien dit de toi Mirella "qui se murmurent à l'oreille de mères en filles". Je te sais parisienne en ce moment et je t'imagine arpentant les rues curieuse et éblouis avec le printemps. Tu reviens sur tes pas. Tu m'as racontée comme tu as été bouleversée de retrouver la trace d'un peintre, ancien prof de nu aux Arts Déco , ton prof. Tu m'as dit que c'est lui qui t'as donné cette passion de dessiner, cette force et cette fragilité à la fois. Jack Ottaviano. Des larmes sur le temps qui passe. Le dire alors. Un disque acheté dans la rue, du jazz, des emplettes de couleurs, des godets d'aquarelles, et bleu que tu aimes tant, des encres, des carnets à mâchurer d'écriture, des sachets de graines, des fleurs, un rouleau de réglisse à glisser dans le sac, des effluves de café fort, "café bonheur" tes liens tous ces liens d'amour, et ses résonances qui font la personne que tu es. Au delà des sirènes, des Pénélopes attentives et des lointains Ulysses aventureux aux belles paroles, je sais la femme que tu es: tu as le coeur tatoué d'arabesques (c'est un mot que tu aimes) de gentillesse, d'amour, tu es entière et je t'aime comme ça ne change rien.
Oh la la! je suis touchée petite Marie, merci! Oui c'est vrai je suis bouleversée, Paris au printemps, sous la pluie. Une galerie. Jack Ottaviano, tout redevient si présent. La vie. Une boutique au coin d'une rue, un marchand de graines, capucines et pavots, fleurs de crépons, des roses rouges, le ciel et gris, c'est joli ce contraste. Un marchand de couleurs, et ce bleu, le bleu d'Anvers, j'en ai toujours dans mes "préférences colorées".... A l'infini je pourras faire un inventaire de mes coups de coeur. Toutes ces choses, cette poésie, ces personnes qui m'animent et m'inspirent tu en fais partie!
Bises Cette sirène entourée de ce bleu profonde, de ces violets.. Cette sirène qui ramasse des fleurs...Mais au même temps j'ai un sentiment: comme si elle était, à la fois, une semeuse. Peut-être que cette sirène pensive, de quelque façon absente, soit d'une façon inconsciente la semeuse de tout ce qu'elle cache secrètement, comme à l'abri de son âme.
Tes mots sont toujours emprunts d'attention et tu as cette délicatesse pour décrire les choses et les interpréter à ta façon, c'est beau et j'apprécie beaucoup. Merci!
une certaine tristesse dans son regard.... la fleur qu'elle tient, la tête en bas..... je voudrais la rendre joyeuse ..... mais le voudra-t-elle? bisou Fabienne
C'est tout ce bleu qui donne une impression de vague à l'âme, peut-être? Son visage? C'est un peu malgré moi :) ...En tous cas, j'aime bien quand tu viens m'écrire. Bisous
"Como largos ecos que de lejos se confunden en una tenebrosa y profunda unidad tan vasta como la noche y la claridad los perfumes, los colores, y los sonidos se corresponden" -Charles Baudelaire.
Grazie Anna della tua visita! Mi piace molto il tuo universo.
Merci Daniel, j'aime bien savoir que tu passe ici de temps en temps. C'est une vague de couleurs, de lignes, de pensées par delà le bleu infini qui nous lient.
Diplomée EnsAD Paris.
Illustratrice, céramiste. J'aime les mots, et les couleurs, je mélange tout... Je suis curieuse.
Je dessine, je colle, j'assemble, je modèle la terre aussi. Je rêve, je cherche, les chemins de traverse. Rouge cerise, rouge de Garance, Ô les baisers!
Bleu outremer, celui de mon enfance.
Jaune et la lumière du soleil, les tournesols.
Je mélange tout, ça donne un gôut étrange à ma vie.
"Seul l'éphémère est éternel".
- Festi Chânes samedi 1er juillet et dimanche 2 juillet 2017
- Librairie Jules et Jim, 2 Impasse Firmin Guy 74300 Cluses
Du 5 au 31 Janvier 2016.
- Cent Centimètres Carrés, Galerie du Philosophe, Place de l'Europe au Carla-Bayle, Ariège (09)
Du 10 décembre 2016 au 18 février 2017.
- Festi Chânes, Chânes, Saône-et Loire (71)
samedi 2 juillet et dimanche 3 juillet 2016.-Festi Chânes samedi 1er juillet et dimanche 2 juillet 2017
- Librairie Jules et Jim, 2 Impasse Firmin Guy 74300 Cluses
Du 5 au 31 Janvier 2016.
- Cent Centimètres Carrés, Galerie du Philosophe, Place de l'Europe au Carla-Bayle, Ariège (09)
Du 10 décembre 2016 au 18 février 2017.
- Festi Chânes, Chânes, Saône-et Loire (71)
samedi 2 juillet et dimanche 3 juillet 2016.
- Librairie Rue de Verneuil, Annecy (74)
du 21 mai au 30 décembre 2016.
- Cent Centimètres Carré, Galerie du Philosophe, Place de l'Europe au Carla-Bayle, Ariège (09)
du 12 décembre 2015 au 21 février 2016.
- Cent Centimètres Carrés, Les Hivernales, Ancien Evéché, Dordogne (24).
Du 18 décembre 2015 au 3 janvier 2016.
- Art Tentation
Salon Art Contemporain et Antiquité
Villefranche-Sur-Mer (06).
Du 3 septembre au 6 septembre 2016.
- New York Space In Art
511 W 20th St.2nd FL 2N New York USA
Exposition collective d'art contemporain.
Du 11 août au 22 août 2015.
- Séoul, City Hall, Corée du sud.
Du 15 juin au 2& juin 2015.
- Médiathèque de Pamiers et bibliothèque de Saint-Jean-Du-Falga, Ariège (09) Respectivement du 1er avril 2015 au 14 mai 2015 et du 1er avril au 30 mai 2015.
- Galerie BOG-ART
Bogaardenstraat 18, 1000 Bruxelle, Belgique.
Du 9 au 22 avril 2015.
- Ueon Art Space, Dhe 798 Art District Pékin, Chine.
Du 4 mars au 11 mars 2015.
- Cent Centimètres Carrés, Galerie du Philosophe, Place de l'Europe, au Carla-Bayle Ariège (09).
Du 13 décembre 2014 au 22 février 2015.
- Galerie BDMC,
54, avenue de La Motte-Picquet 75015 Paris.
Du 1er octobre 2014 au 1er octobre 2015.
- Art Shoppin, Carrousel du Louvre, Paris.
17/18 mai 2014.
- Salle Géo Dorival, Maison du Tourisme,
Saint Gervais Mont-Blanc (74).
Du 30 mars au 14 avril 2013.
- Rotary Club Mont-Blanc, Sallanches (74).
Du 1er au 11 mars 2012.
- Marcher de Noël de Pérouges (01).
10 et 11 décembre 2011.
- La Ferme d'Antioche, Nernier (74).
Du 9 au 16 juillet 2011.
- Les Ecuries du Château, Samoëns (74).
Du 13 au 18 juillet 2010.
- Forum des Lacs, Thyez (74).
Octobre 2010.
- La Grange à Joseph, Douvaine (74).
Du 3 au 18 juillet 2010.
- Librairie Jules et Jim, Cluses (74).
Autoportrait au bleu du soir
Aquarelle, encre de Chine
Hommage...
Il est des lieux, des rencontres, une présence, des instants qui vous donnent des couleurs, vous poudrent l'âme et le coeur de reflets dorés. Vous charpente comme un bel arbre, vous donne envie de créer, d'avancer.
Des rencontres "conceptuelles"et des rencontres de chair et de sang.
"Inventaire à la Prévert" comme dirait un certain poète Kabyle de café fort.
Brève esquisse d'essentiel.
Alors...
L'ombre encre de chine des cyprès sur les collines ocre de Toscane. Rome ville de mes racines. Antibes aux remparts abruptes, la mer à l'infini. Nicolas De Staël, bleu outremer. Picasso au Château Grimaldi, le poisson, l'oiseau, portraits de femmes aimantes. Chagall et son bestiaire. Ô! Les amoureux de Peynet! Un carnet d'esquisses à l'aquarelle pour capturer les images. Un ruban solaire accroché aux cheveux de ma fille, et les dessins de sel que dessine la mer sur la peau de mon fils.
Paris, pour marcher sous la pluie, et s'asseoir à la terrasse des Deux Magots, savourer un café crème et regarder les gens passer, des amoureux?!
Des personnages réels ou fictifs: Léon l'africain, "la jeune fille et le nègre", Camille Claudel, Aimé Césaire, Djemel, Apollinaire et Lou, Baudelaire, Marceline Desbordes-Valmore, "Les roses de Saadi", Assia Djebar "Ombres Sultane", Kateb Yacine, "Nedjma", pour veiller tard la nuit et s'accrocher le coeur d'arabesques.
Un cahier "alchimiste" et ses secrets, précieux présent, pour ouvrir le chemin.
"Le bonheur dans le hasard".
Le savoir faire précis et la générosité d'une fée qui m'a ouvert son atelier, et m'a offert mes premiers engobes de couleur pour peindre la terre.
Mélange magique de l'eau, de la terre et du feu.
Une révélation!
Ce que je donne à voir ici, est le fruit de ce long cheminement, il a mûrit comme un fruit délicieux.
F.C
L'enfant Kabyle
Poème, mon coeur...
"Es-tu prêt à aimer sans connaître le fin mot de l'histoire sans demander le nom la provenance et la destination? Aimer en baissant les yeux sans dévorer la main que tu serres sans feux ni contre feux de désirs et d'outrages. Aimer de près et encore plus de loin. Aimer comme respirer sans défense ni gilet de sauvetage dans la fournaise des purifications et la tempête des passions inavouables. Es-tu prêt à vivre de cet amour là d'eau fraîche et de ta plume d'oiseau ordinaire brûlant au feu de l'utopie dont on ne sait s'il restera des cendres?" Abdellatif Laâbi. Oeuvre poétique "Ecris la vie".
Lettre d'amour .
...pour faire venir le soleil.
Les amoureux
Autoportrait " Nuit Indigo "
Acrostiche
Poème...
"Je peux écrire les vers les plus tristes cette nuit.
Écrire, par exemple: "La nuit est étoilée et les astres d'azur tremblent dans le lointain."
Le vent de la nuit tourne dans le ciel et chante.
Je puis écrire les vers les plus tristes cette nuit. Je l'aimais, et parfois elle aussi elle m'aima.
Les nuits comme cette nuit, je l'avais entre mes bras. Je l'embrassai tant de fois sous le ciel, ciel infini.
Elle m'aima, et parfois moi aussi je l'ai aimée. Comment n'aimerait-on pas ses grands yeux fixes.
Je peux écrire les vers les plus tristes cette nuit. Penser que je ne l'ai pas. Regretter l'avoir perdue.
Entendre la nuit immense, et plus immense sans elle. Et le vers tombe dans l'âme comme la rosée dans l'herbe.
Qu'importe que mon amour n'ait pas pu la retenir. La nuit est pleine d'étoiles, elle n'est pas avec moi.
Voilà tout. Au loin on chante. C'est au loin. Et mon âme est mécontente parce que je l'ai perdue.
Comme pour la rapprocher, c'est mon regard qui la cherche. Et mon coeur aussi la cherche, elle n'est pas avec moi.
Et c'est bien la même nuit qui blanchit les mêmes arbres. Mais nous autres, ceux d'alors, nous ne sommes plus les mêmes.
Je ne l'aime plus, c'est vrai. Pourtant, combien je l'aimais. Ma voix appelait le vent pour aller à son oreille.
A un autre. A un autre elle sera. Ainsi qu'avant mes baisers. Avec sa voix, son corps clair. Avec ses yeux infinis.
Je ne l'aime plus, c'est vrai, pourtant, peut-être je l'aime. Il est si bref l'amour et l'oubli est si long.
C'était en des nuits pareilles, je l'avais entre mes bras et mon âme est mécontente parce que je l'ai perdue.
Même si cette douleur est la dernière par elle et même si ce poème est les derniers vers pour elle".
" Heureux comme Lazzaro " (film dramatique) Alice Rohrwacher
" Pièces détachées " Colette Fellous
" Judas " Amos Os
" L'art de perdre " Alice Zeniter
" Tunis Blues " Ali Bécheur
" Lettres à Delacroix " Tahar Ben Jelloun
" Transcolorado " Catherine Gucher
" Joie " Clara Magnani
" La veille de presque tout " Victor Del Arbol
" Le corps de ma mère " Fawzia Zouari
" Le diable est dans les détails " Leïla Slimani
" L'odyssée " Homère
" Les simples prétextes du bonheur " Nahal Tajadod
" Sonita " Rokhsareh Ghaem Maghami (documentaire)
" Juste écouter le vent " Ahmed Kalouaz
" Petit pays " Gaël Faye
" Le vieux saltimbanque " Jim Harrison
" Que ma joie demeure " Jean Giono
" Le mariage de plaisir " Tahar Ben Jelloun
" Hizya " Maïssa Bey
" Le père " Lotfi Achour (cour métrage)
"La ballade du calame" Atiq Rahimi
"Sacré bleu" Christopher Moore
"Meurseault contre-enquête" Kamel Daoud
"Le soleil des Scorta" Laurent Gaudé
"Maudit soit Dostoïevsk" Atiq Rahimii
"Sigué sabour, pierre de patience" Atiq Rahimi
"Muses et égéries" Gamal Ghitany
"Le fumeur de souvenirs" Alain Montcouquiol
"La femme à modeler" Emilie de Turckheim Sylviane Blondeau
"Une étoile aux cheveux noirs". Ahmed Kalouaz
"La poésie marocaine de l'indépendance à nos jours. Anthologie. Abdellatif Laâbi
"La vie devant moi" Soukaïna Oufkir
"Un peu de Paris et d'ailleurs" Sempé
"Carnet intime" Zep
"Au commencement était la mer" Maïssa Bey
"Sous le jasmin la nuit" Maïssa Bey
"Nouvelles d'Algérie" Maïssa Bey
"La Splendeur d'Antonia" Jean-Pierre Milovanoff
"Les poètes de la Méditerranée" Anthologie Yves Bonnefoy
"La poésie arabe" René R. Kawan
"Le livre de l'amour" Mohammed Bennis
"Marina" Carlos Ruiz Zafon
"Trésor d'amour" Philippe Solers
"La terre nous est étroite" Mahmoud Darwich
"Labyrinthe des sentiments" Tahar Ben Jelloun
"La preuve par le miel" Salwa Al Neimi
"La terre et le sang" Mouloud Feraoun
"Le livre imprévu" Abdellatif Laâbi
"Oeuvre poétique" Abdellatif laâbi
"Nos baisers sont des adieux" Nina Bouraoui
"La délicatesse" David Foenkinos
"Les chercheurs d'os" Tahar Djaout
"Villa Jasmin" Serge Maoti
"Harlem" Eddy L.Harris
"Le sang du baobab" Richard Binet
"Un don" Toni Morrison
"La jeune fille et le nègre" Judith Vanistendael
"La route" Cormac McCarthy
"De grâce" Hamid Aït-Taleb
"Léon l'africain" Amin Maalouf
"Il était une fois peut-être pas" Akli Tadjer
"Les porteurs d'orage" Benamar Médiene
"le spleen de Paris" Baudelaire
"La disparition de la langue française" Assia Djebar
"Une femme" Anne Delbée
"Nedjma" Kateb Yacine
.
" Le désir de peindre "
Expression de la beauté
L'ombre et l'azur de ma mémoire me rappellent ce qu'est la beauté. C'est le contraste, une chose perçue qui se détache, et qui par sa singularité prend toute son ampleur. Ce contraste est la vie et s'inscrit aussi dans l'expression artistique.
Je vois le bleu dense des cyprès dans le jardin, leurs ombres dessinées comme à l'encre de chine dans la lumière blanche de l'été. Là est la beauté. Cet instant où l'on perçoit les choses, où on prend conscience, où l'on comprend tout ce qu'elles ont de particulier, de fragile d'éphémère. Je prends mes aquarelles pour figer le temps. J'ai envie de poser cette vision à grands coups de pinceau sur le papier rugueux. L'image prend forme. Les couleurs s'inscrivent sur la surface vierge, jusqu'à la transparence immaculée de l'eau dans laquelle je trempe mon pinceau et qui par volutes devient bleue à son tour. Soudain, là est la beauté, dans cette transparence devenue bleue. Etrange. Cette beauté se répercute d'objet en objet, de situation en situation, comme un ricochet faisant surgir de l'eau à chaque instant un éclat nouveau. Là est la vie. Et cette sensibilité, cette faculté que l'on a à percevoir cette beauté est toute personnelle. La beauté n'est pas propre aux choses elles mêmes, elle prend forme dans le regard, dans l'esprit de celui qui l'observe. Chacun en a sa perception, sa conception, elle reste par là même une énigme, elle garde son secret, c'est un émerveillement perpétuel qui reste une interrogation éternelle.
Une petite sirene qui a portée des fleurs au fond de la mer , toujours des sujet très originaux e créatif . Grosse bise !
RépondreSupprimerMerci Jane.
SupprimerBisous
Venir t'écrire ici, c'est lointain et distant. Pourtant je sais que tu aimes "les p'tits mots"
RépondreSupprimerPour toi ce matin.
Je viens et m'imprègne de tes créations, je laisse aller la musique aussi et tu es présente d'un coup. Ton monde en couleur comme tu aimes si bien dire prend possession des lieux. Des sirènes, des femmes de coeur, des amoureux, un enfant kabyle.
Il y a de la nostalgie, des mots d'amour, des secrets, des vérité qui fleurissent et s'évaporent de ci de là... De ces mots comme l'a dit si bien dit de toi Mirella "qui se murmurent à l'oreille de mères en filles".
Je te sais parisienne en ce moment et je t'imagine arpentant les rues curieuse et éblouis avec le printemps. Tu reviens sur tes pas.
Tu m'as racontée comme tu as été bouleversée de retrouver la trace d'un peintre, ancien prof de nu aux Arts Déco , ton prof. Tu m'as dit que c'est lui qui t'as donné cette passion de dessiner, cette force et cette fragilité à la fois. Jack Ottaviano. Des larmes sur le temps qui passe. Le dire alors.
Un disque acheté dans la rue, du jazz, des emplettes de couleurs, des godets d'aquarelles, et bleu que tu aimes tant, des encres, des carnets à mâchurer d'écriture, des sachets de graines, des fleurs, un rouleau de réglisse à glisser dans le sac, des effluves de café fort, "café bonheur" tes liens tous ces liens d'amour, et ses résonances qui font la personne que tu es. Au delà des sirènes, des Pénélopes attentives et des lointains Ulysses aventureux aux belles paroles, je sais la femme que tu es: tu as le coeur tatoué d'arabesques (c'est un mot que tu aimes) de gentillesse, d'amour, tu es entière et je t'aime comme ça ne change rien.
Bisous.
Marie
Bisous.
Oh la la! je suis touchée petite Marie, merci!
SupprimerOui c'est vrai je suis bouleversée, Paris au printemps, sous la pluie. Une galerie. Jack Ottaviano, tout redevient si présent.
La vie.
Une boutique au coin d'une rue, un marchand de graines, capucines et pavots, fleurs de crépons, des roses rouges, le ciel et gris, c'est joli ce contraste.
Un marchand de couleurs, et ce bleu, le bleu d'Anvers, j'en ai toujours dans mes "préférences colorées"....
A l'infini je pourras faire un inventaire de mes coups de coeur.
Toutes ces choses, cette poésie, ces personnes qui m'animent et m'inspirent tu en fais partie!
Bises Cette sirène entourée de ce bleu profonde, de ces violets.. Cette sirène qui ramasse des fleurs...Mais au même temps j'ai un sentiment: comme si elle était, à la fois, une semeuse. Peut-être que cette sirène pensive, de quelque façon absente, soit d'une façon inconsciente la semeuse de tout ce qu'elle cache secrètement, comme à l'abri de son âme.
RépondreSupprimerBises
Tes mots sont toujours emprunts d'attention et tu as cette délicatesse pour décrire les choses et les interpréter à ta façon, c'est beau et j'apprécie beaucoup. Merci!
Supprimerune certaine tristesse dans son regard....
RépondreSupprimerla fleur qu'elle tient, la tête en bas.....
je voudrais la rendre joyeuse .....
mais le voudra-t-elle?
bisou Fabienne
C'est tout ce bleu qui donne une impression de vague à l'âme, peut-être? Son visage? C'est un peu malgré moi :)
Supprimer...En tous cas, j'aime bien quand tu viens m'écrire.
Bisous
"Como largos ecos que de lejos se confunden
RépondreSupprimeren una tenebrosa y profunda unidad
tan vasta como la noche y la claridad
los perfumes, los colores, y los sonidos se corresponden"
-Charles Baudelaire.
Daniel
Cher Daniel, merci.
RépondreSupprimerJe suis touchée par ce poème de Baudelaire.
Grazie di seguire il mio blog e complimenti per la tua arte! Arrivederci!
RépondreSupprimerEl placer de siempre al visitar tu blog...que grato es regresar a tus colores, tus formas, tus palabras...
RépondreSupprimerDaniel
Grazie Anna della tua visita! Mi piace molto il tuo universo.
RépondreSupprimerMerci Daniel, j'aime bien savoir que tu passe ici de temps en temps. C'est une vague de couleurs, de lignes, de pensées par delà le bleu infini qui nous lient.
Magnifique cette petite sirène si mélancolique !Un p'tit mot donc pour lui redonner un peu le sourire ! Bises
RépondreSupprimerHola! Una sirena preciosa! llena de color. Un saludo cariñoso
RépondreSupprimerMerci Yves de ton p'tit mot...
RépondreSupprimerHola Victoria, muchas gracias para tus palabras llenas de colores para mi sirena.
Merci beaucoup!